lundi 30 juin 2014

On samba les couilles (18)

Hier soir. Hier soir dodo. Oui, je sais, nous devrions en être à la chronique 19. Pour tout vous dire, samedi soir j'ai joué la prolongation, et non les prolongations, ce qui m'a conduit jusqu'à dimanche matin, à l'heure de la première clarté, il est vrai un peu moutonneuse. Je ne suis pas passé par la séance de tir au but. Le rock a largement couvert la samba. Dit autrement, le Rock'in a croqué Gilberto. Et dimanche, du moins ce qu'il en restait, comme les chiliens, le coup de barre. Le coup de barre à l'ouest qui m'a mollement déposé sur le canapé dans lequel, devant Mexique-Pays-Bas je me suis endormi. Quand je me suis réveillé, il était pas loin d'être trop tard. Le Mexique semblait s'y voir, attendant que le temps passe. Et puis... Il a suffit que Robben nous la joue comme si on lui avait arraché la cheville et c'était plié. Pour ce qui est du deuxième match de la soirée, ils l'ont joué sans moi.

Le Brésil? Je n'en ai rien vu. Était-ce bien la peine de voir des brésiliens à la peine, touchant pour ce qui les concerne, la baraka alors que les chiliens devaient se contenter de toucher la transversale. Comme dit mon tonton, c'est bien de toucher, mais à la fin faut quand même songer à la mettre au fond. Je ne sais pas où il en est avec le second degré. A propos de barre, cela me rappelle bien sûr, 66. Angleterre-RFA comme on disait à l'époque. Hurst qui frappe. Naissance de la notion de but fantôme. Il va hanter et continue de le faire, la réalité de la victoire anglaise.
https://www.youtube.com/watch?v=0Uhe_l1h3w8

Pour ce soir, je regarderai et nous verrons.   

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