mardi 24 juin 2014

On samba les couilles (13)

Il ne vous aura pas échappé que c'est la treizième. Alors aujourd'hui pas de chronique. De plus, hier soir je me suis endormi devant je ne sais plus quoi et quand je me suis réveillé, il était temps que j'aille me coucher. Soit, j'ai somnolé quelques minutes devant Brésil-Cameroun. J'ai rapidement laissé tomber. Je suis monté à l'étage, là où se trouve mon lit. Sous la couette, j'ai repris la lecture de "Dalva" de Jim Harrison. Ce qui me fait penser à propos du Brésil, que j'ai lu "Carton jaune" de Nick Hornby. Je vous le conseille. C'est l'histoire d'un supporter d'Arsenal. Je me souviens d'un joueur qui opérait à Arsenal. Charlie George. Le joueur typique du foot anglais des années 70. Avec les copains, on l'adorait sa coupe de cheveux, cheveux qui descendaient dans le coup, symbole de liberté. Alors que moi, sur ordre paternel, tous les mois j'allais chez le merlan. Comme dit mon tonton, pas question que ça dépasse. C'est justement cette aversion pour les cheveux longs qui me dépassait. Les gars devaient avoir les cheveux courts. C'était comme ça et pas autrement. Nous enviions Charlie et nous savions où il était.


Aucun commentaire: