Parfois à portée de main
Il se souvient de ces rêves
Comme le présent d’une trêve
Dans l’attente du matin
Il faisait couler l’eau de l’aube
Rosée dans l’herbe qui lève
Avant que le désir ne s’achève
Jusqu’à en oublier demain
Il n’a plus aujourd’hui envie
De ces lointains encore en vie
Il laisse s’approcher le repos
Qui se dépose sur sa peau
Qui se dépose sur sa peau
Le vide
prend sa place
Dans l’ombre d’en faceL'épine dans la peine
Se cache de la haine
Ce sont des allées et venues
Des caresses ténues
De tout ce temps
Qui finit dans l'instant
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