mercredi 10 juin 2009

Bingo!


J'aurais pu dire qu'Omar Bongo m'a tuer mais ce sont plutôt certains hommes politiques français qui m'ont scié. Comme l'a chanté Bashung, "Rien ne justifie" et pourtant ils l'ont dit.

Le jeu est de savoir qui a dit :

"C'est un grand et fidèle ami de la France qui nous a quittés, une haute figure de l'Afrique et un chef d'Etat qui avait su gagner l'estime et le respect de l'ensemble de ses pairs, notamment par ses nombreuses initiatives en faveur de la paix sur le continent africain".

"J'avais beaucoup d'amitié et beaucoup d'estime", pour Omar Bongo "profondément Africain" mais qui "se sentait dans le même temps profondément Français".

"La France perd aujourd'hui un ami, mais je déplore également une perte pour l'Afrique, continent où M. Bongo Ondimba, unanimement respecté par ses pairs, avait oeuvré avec détermination et courage à la paix et la stabilité"

"Je salue la mémoire d'Omar Bongo, qui "aura réussi à s'imposer comme un sage" contribuant "à la paix et à la stabilité de l'ensemble du continent" africain. "A la tête de la République du Gabon, Omar Bongo n'aura eu de cesse pendant plus de quarante ans d'oeuvrer au développement économique et social de son pays, comme de l'Afrique entière".

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