vendredi 19 mars 2010

Fatigue (suite et vraiment fin)

Je me suis trompé, j'ai confondu, j'ai fait une erreur, il y a eu confusion, un problème technique indépendant de ma volonté. Ce n'était pas elle, c'était quelqu'un d'autre. Je tiens donc à présenter mes plus sincères excuses à sa famille, son mari, ses enfants, ses parents, ses voisins de palier et les assurer de tout mon soutien dans ce moment difficile.

Bien sûr, manquant de cette dignité et de cette retenue qui est la marque des hommes d'Etat, d'aucuns, comme des chiens rongeant un os, n'ont pas manqué de me lancer au visage le mot déshonneur. Quel déshonneur? J'ai eu le courage de reconnaître mon erreur et de m'en excuser publiquement et sans ambiguité. L'important n'est pas ce que l'on dit mais de regretter de l'avoir dit.

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