Partageons nos solitudes, nous serons seuls ensemble.
Peut-être prendras-tu ma main au croisement des rêves. Dans le
froissement d’une brève étreinte quand s’éteindra
le jour de l’attente. La légèreté nous conduira à la lumière. Nos rires
surgiront à nouveau des profondeurs endormies. Les lueurs de pages
éparses livreront les mots que tu glissais entre les lignes. Il reste le
fragment d’une promesse. La blessure de la tendresse
évanouie. La vie est une immensité qui nous échappe et nous précipite.
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