Les
débris crissent dans le froid des allées.
Les pas reviennent vers le passé
Et laissent les empreintes de cette aube
Dans la lumière qui file ondule ta robe
Ta voix se prolonge dans les rayons
Et réchauffe ce matin d'abandon
Les pas reviennent vers le passé
Et laissent les empreintes de cette aube
Dans la lumière qui file ondule ta robe
Ta voix se prolonge dans les rayons
Et réchauffe ce matin d'abandon
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire