lundi 1 février 2010

Robert Badinter

Ce qu'il a donc dit à propos de notre président

"S'il a été victime d'une infraction, le parquet assurera la poursuite de ses auteurs avec diligence, on peut en être convaincu. Nul besoin de la présence de son avocat personnel pour que soit soutenue l'accusation. Les débats gagneraient en sérénité, le ministère public en autorité, la décision en crédibilité, et le président en distance."

Ces propos sont reposants. Ils nous éloignent du bruit, de la justification, de l'immédiat. C'est comme si nous pouvions nous assoir et écouter.

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