jeudi 6 mars 2008

Merci Vincent (suite et fin)



Nous avons donc un cercle restreint d'exégètes qui, à l'occasion, fait appel à l'intérim, le dernier intérimaire en date étant Max Gallo, notre Max qui, par petites touches et retouches, endosse le costume du grand commandeur, du sage télévisuel dont l'avis fait autorité, nouvel Yves Montand du 21ème siècle.

Après d'autres, Gallo Max est intervenu pour nous dire que notre président n'avait pas dit qu'il voulait remettre en cause le principe juridique de non rétroactivité mais qu'il voulait dire qu'il fallait trouver une combine juridique pour que la loi sur les délinquants sexuels s'applique à ceux qui avaient été condamnés avant la promulgation de la loi et ce compte tenu de la décision du Conseil Constitutionnel. Comme le dit mon ami Rocco, je vous la fait courte. Malgré tout, cela peut vous paraître embrouillé mais je n'y suis pour rien.

Cette chronique n'aura pas la fin souhaitée car je n'ai pas retrouvé la dépêche AFP dans laquelle Vincent Lamanda, premier président de la cour de cassation, précisait que contrairement à ce que lui avait demandé notre président, il ne contournerait pas la décision du conseil constitutionnel.

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