Enlaçons nos solitudes dans une agitation sensorielle. Peut-être
prendras-tu ma main au croisement de nos rêves. Dans le froissement des brèves
étreintes quand s’éteint le jour de l’attente. La légèreté nous retrouvera dans
la lumière des matins. Nos vies surgiront à nouveau des profondeurs endormies quand la nuit apparaît dans les reflets du fleuve. . Les lueurs
de pages éparses livreront les mots que tu glisses entre les lignes. Il restera
le fragment d’une promesse. L’attente blessera la tendresse. Comme une onde
dans l’immensité de la vie, tu t’approcheras à l’infini.
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