Un trait qui traversait la ligne
S’étirait comme un point aigu
Dans l’ombre du dernier signe
D’un langage qui m’était inconnu
Je parcourais toutes les mémoires
Je remuais tous les méandres gris
Peu m’importait d’y trouver un espoir
De retrouver la vie qui m’avait fui
Je voulais sentir le souffle de l’innocence
Je voulais ressentir l’envie d’un matin d’été
Je voulais entendre le rire de l’enfance
Je voulais sourire au souvenir de ton éternité
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire