vendredi 17 juin 2011

La naissance d'Augustine

Elle est si douce, elle est si fine

Augustine nouvelle fleur épanouie dans le in
Sa première note ne fait pas naître le doute
Alors qu’enfin la nuit se décide et décline
Avec Augustine, déjà oublié, hier devint out

Les volutes du seize juin porte le bonheur de son père
Augustine sur la corde des accords de sa mélodie
Résonne la peau, vibre et vrille le cœur de sa mère
Augustine, se répand et se propage le souffle de ta vie

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