J'aime bien commencer par la fin
Quand il ne reste plus que ton parfum
Quand, dans un dernier souffle, tu pars
Me laissant dans son monde à part
Parfois la fatigue me rattrape
Dans les rides moites des draps tièdes
A l'ombre des plis les cris s'échappent
Des feintes étreintes qui se succèdent
A la recherche de tes empreintes
Que l'avidité abandonne
Sur les chemins que tu empruntes
Laissant suinter l'amour que tu donnes
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