Les pensées délavées se perdent dans le bleu du ciel
Il se fond avec lenteur dans cet infini qui se rapproche
Jusqu’à sentir cette présence comme un parfum de miel
Les souvenirs disparaissent dans le mouvement d’un reprocheLe long de cette route, s'estompent dans la brume d'une hésitation
Les parfums du vent d'avant que respiraient ma peau
Presque rien, quelques seconde pour une passion
Pour voir la vie à nouveau s'écouler au fil de l'eau
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire