mercredi 12 décembre 2012

Pourquoi pas


Il regardait la lumière quitter le jour
Il en devinait encore les pourtours
La clarté comme un sourire
Se réfugiait dans le creux des nuages
Les ombres ne jouaient plus
Elles envahissaient ses souvenirs
Comme par l’apaisement d’un sage
La rage qui l’asservissait avait disparu
Un rien qui lui avait fait du bien
Et demain, s’il s’en souvient…

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