lundi 8 avril 2013

Que faire


Au mieux, je n'aurais que faire de Thatcher et de sa mort. Mais j'ai beau faire, cette mort ne me laisse pas indifférent. Allez savoir pourquoi, je ne suis pas mécontent qu'elle soit enfin bouffée par la rouille. Pourtant, qu'elle ait pu ainsi partir sans être le moins du monde inquiétée m'agace. Au nom d'une idéologie qui repose sur l’intransigeance et la certitude, elle a laissé mourir, elle a détruit, elle a humilié. Cela suffit, je commence à m'énerver. Il n'en demeure pas moins que, bien que cela m'aurait coûté, j'aurais aimé lui faire subir les derniers outrages. Enculée!

Aucun commentaire: