lundi 17 janvier 2011

d'anévrisme



En ce qui concerne la ministre des affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie (1), qui avait proposé à la Tunisie le savoir-faire de la France pour "régler les situations sécuritaires", M. Guaino a déclaré : "Je crois qu'elle l'a fait sans mauvaise intention du tout, à partir d'une analyse qui était la sienne." Quant à savoir si elle doit présenter des excuses, "vous lui poserez la question", a-t-il dit.

Je n'ai rien à ajouter si ce n'est que dans cet entretien du jour M. Guaino a admis qu'"il y ait pu avoir des maladresses ou des incompréhensions", de la part de la France face à la crise en Tunisie.

(1) "Il y avait des tirs à balles réelles, des morts. Pour que de telles situations ne se reproduisent pas dans l'avenir, j'ai donc dit que nous étions prêts à aider à former les forces de l'ordre tunisiennes, comme nous le faisons pour d'autres pays, au maintien de l'ordre en veillant à la préservation des vies"

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