jeudi 14 août 2008

En pente douce

Bien qu'il n'y ait plus de saison, plus de raison, de moins en moins de rayons et pratiquement plus de crayons, ne craignons rien. Il nous reste les grands départs, les chassés croisés, les prévisions de bisons futé, les propos rassurants de Christine Lagarde, le bon sens de Jean-Pierre Raffarin, la torpeur de l'été, les journalistes au jo avec leurs tombereaux d'émotions, d'historique, d'énorme, de monstrueux, d'inouï, de fantastique, de jamais vu, de merveilleux, de beauté du sport, de "les qualificatifs nous manquent", l'hilarant où c'esti l'Ossétie (rien à propos de l'Abkhazie).

Tout ça pour vous dire, vous l'avez peut-être remarqué, que je suis en pré-vacances, ce qui explique mes absences, un manque évident de contenu, autrement dit, un coupable laisser-aller. Les sujets ne manquent pas. Comme un écureuil avec ses noisettes*, je les engrange.

*je sais...

Aucun commentaire: