mardi 16 mai 2017

A l'infini

Elle caressait mes émotions
Dans ses yeux brillait la clé de l'évasion
Dans les boucles rouges du temps sa révolution
Comme un tourbillon emportait mes douces illusions

Son cœur à l'infini
Faisait battre mon amour
Elle était l'infini
Son cœur à l'infini
Faisait battre mon amour

Dans les derniers parfums du vent d’alors
Seul le linceul de mon cœur flotte encore
Las comme un amour qui s’endort
Dans la brume s’évanouit son corps

L’aube des flots ternes de la baie de Lisbonne
Dépose l'ombre des saisons monotones
Les chagrins sombres des reflets amers de l’automne
Déversent les pleurs et enfin m’abandonnent

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